La ville insoumise
Jon Fasman
A trente-quatre ans, Jim Vilatzer considère que sa vie s’enlise dans la médiocrité. Employé dans le delicatessen que ses parents, enfants d’immigrés russes, ont ouvert dans une banlieue de Chicago, échaudé par un échec sentimental, pris à la gorge par des créanciers, il suffoque et rêve d’un changement de décor. Lorsque l’opportunité lui est offerte de partir en Russie, il la saisit sur le champ. C’est ainsi que le jeune Américain s’installe à Moscou, où il est embauché par la Fondation de la mémoire pour recueillir des témoignages. Peu à peu, il se familiarise avec une ville inhospitalière qui ne ménage pas ses habitants, loin de se douter qu’en tombant amoureux de la belle Kaisa et en rencontrant d’anciens prisonniers, il sera mêlé à un complot d’envergure planétaire, au grand dam du gouvernement russe et de la CIA.
Ce thriller mené tambour battant est avant tout une déclaration d’amour à une ville chargée d’émotions et d’histoire ainsi qu’une réflexion tout en finesse sur le déracinement et l’identité familiale. (4e de couverture)
Et bien non, ce livre ne m'a pas aidé à sortir de ma panne de lecture, loin de là! Il me tentait pourtant, et puis au fil des pages, je lisais sans comprendre, sans concentration. Je me suis arrêtée à la page 104 sans pouvoir repartir.
Peut être à un autre moment... je pense que je réessaierai ultérieurement.
Merci tout de même aux éditions du seuil et à "chez les filles"pour l'envoi.